Il vous manque tant de choses lorsque vous regardez la vie à travers le verre à moitié vide. Prendre la pente négative de la vie, conduit à une vie régie par la pensée négative qui ne voit pas les bonnes choses que la vie a à offrir.

Prenez un moment à écrire toutes ces choses qui clochent dans votre vie. Puis, sur un morceau de papier différent, notez toutes les bonnes choses que vous avez eues. Pour une personne négative, cela peut être difficile à réaliser. Vous êtes-vous réveillé dans un lit chaud ce matin ? Votre lit était-il bien chaud ? Y avait-il quelqu’un de l’autre côté du lit à votre réveil ? Avez-vous pris le petit déjeuner ? Êtes-vous allé travailler ? Dans une voiture ? Avez-vous pu vous habiller avec des vêtements propres et décents ?

Votre verre est-il à moitié plein ou à moitié vide

Toutes choses et chacune d’entre elles sont des choses positives, des bénédictions et elles appartiennent à l’aspect positif de votre vie. Il est si facile de ne penser qu’aux choses négatives : je ne suis pas assez payé, ma voiture est vieille, les céréales n’étaient plus très fraîches, ce costume commence à m’exaspérer… allons ! La moitié du monde aimerait avoir un dixième des choses que vous avez pris pour acquis que ce matin !

Pourquoi ne voulez-vous jamais sortir de ce regard si négatif sur les différents aspects de votre vie ? Êtes-vous quelqu’un qui aime se plaindre en permanence ? Vous plaignez-vous à cause des circonstances ou sont-ce elles qui vous poussent à vous faire plaindre ? Comment est-ce que les choses pourraient être pires ? Lorsque vous pensez vraiment à votre vie, n’avez-vous pas été béni par rapport à toutes ces personnes qui ne pensent même plus à se plaindre tellement elles n’ont rien ?

Essayez la pensée positive comme un moyen de trouver le bonheur et la satisfaction dans votre vie. Vous plaindre sans cesse ne vous apportera rien. Cela ne propagera qu’un certain mal-être autour de vous et si telle est votre intention, vous devriez sérieusement repenser votre approche relationnelle.

Bien amicalement,
Bernard Lamonnier